Actualités brûlantes et nouvelles fraîches de Marc-Édouard Nabe

n°12 – 28 février 2018

 12,00

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Description

Au sommaire de ce numéro :

(spécial Yves Loffredo)

 

À la Une : « Yves Loffredo : Achtung Judas ! »

Illustration de Une : image-montage d’Atroce représentant Yves Loffredo dans un tribunal, couché sur le dos sur une table, nu, enchaîné, effectuant d’une main un salut nazi et arborant un portrait de Serge Ayoub de l’autre. Il est observé par toute la Cour et il défèque de peur et se fait branler et sodomiser par un godemichet orné d’un brassard à croix gammée par sa concubine Virginie Hairanian qui, elle, bien que torse nu, est habillée en nazie, clin d’œil au film Portier de nuit. (Une censurée par voie de Justice).
Chapô pour annoncer que le « directeur artistique » de MEN Yves Loffredo a gagné son procès du 20 décembre 2017 et pour consacrer tout le numéro de Nabe’s News au personnage, à sa personnalité et à ses procédures. Illustration : gros plan d’un élément de l’image-montage d’Atroce : Loffredo nu au milieu de ses chaines, se faisant branler par une main féminine et sodomiser, par un godemichet-ceinture aux couleurs nazies, jusqu’au sang et la merde. 1 page.

    « Jugement du 21 février 2018 »

    Scan du jugement (16 pages) condamnant Nabe à payer à Yves Loffredo la somme de 4 000 euros pour atteinte à la vie privée, un euro pour atteinte aux droits d’auteurs, et 3 000 euros aux depens (voir Procès in WikiNabia).

    « Les conséquences »

    Texte non signé d’analyse de la condamnation qui risque d’empêcher le financement du deuxième tome des Porcs. Explication sur l’action négative d’Yves Loffredo sur l’anti-édition qu’il a contribué à faire naître. Contestation du jugement qui fait de Loffredo, « directeur artistique », le seul auteur de la charte graphique des nouveaux livres de Nabe. Évocation de Thomas Moulin, assistant de Loffredo, de Manuel Roustan, ami de Loffredo et de Nicolas Brault, avocat de Loffredo. Annonce de l’écriture et de la publication d’un pamphlet de 190 pages, Yves Loffredo 10 janvier 1966 – 21 février 2018 (en anti-édition bien sûr). Illustrations : la couverture du pamphlet et deux photos de Loffredo et sa compagne (censurées par voie de Justice).  2 pages. 

    Recensions de l’audience du 20 décembre 2017 :

    Illustration de Une : photo d’Yves Loffredo.

    « Pas de Brault, pot ! »

    Texte signé Thomas Codaccioni relatant très précisément le procès du 20 décembre au TGI opposant Yves Loffredo (avocat Me Brault) et Marc-Édouard Nabe (avocate Me Coutant Peyre) où le correcteur des Porcs s’est rendu avec quelques autres amis et soutiens de Nabe. Rappel des propos et arguments échangés entre les intervenants. Critique de la défense de Me Brault.  Adresse personnelle à Loffredo (absent à l’audience) que Codaccioni a fréquenté dans la galerie. Souvenirs personnels sur Nabe et sur Thomas Moulin, le composeur des Porcs. Contestation de la paternité des « couvertures noires ». Résumé de la plaidoirie de Coutant Peyre. Récit du débriefing de l’audience qui a suivi au café Le Départ. Illustrations : photos de Loffredo seul dans la galerie de la rue Sauton et de Me Brault, en robe, à la sortie de la chambre correctionnelle. 17 pages.

    « The Loffredo Show »

    Texte signé « Julien de Belgique » donnant son avis en tant que proche de Nabe et membre permanent de la galerie au sujet de la personnalité de Loffredo qu’il a vu souvent, et relatant l’audience du 20 décembre à laquelle « Julien de Belgique » a lui aussi assisté. Autres souvenirs personnels et version complémentaire à celle de Codaccioni du récit de l’audience. Illustrations : photos d’Yves Loffredo prises dans la galerie Nabe. 5 pages.

    « La pendaison les fait bander »

    Texte signé « Rounga ». Troisième récit d’un soutien de Nabe ayant assisté également au procès du 20 décembre et qui raconte selon son point de vue le déroulement de l’audience avec d’autres détails. Illustrations : photos de Loffredo, dont l’un avec tatoué sur front le nom de   JUDAS.  4 pages.

    « Merda culpa »

    Texte signé David Vesper. Quatrième témoignage par un autre proche de Nabe, présent lui aussi lors de l’audience et qui raconte le procès. Souvenir personnel d’un vol, du à sa négligence de son ordinateur contenant des Éclats inédits et dont Vesper a été la victime le 23 juin 2016, qu’il compare à la « gaffe » faite lors de l’audience : sortir son téléphone pour enregistrer les débats, ce qui est strictement interdit. Vesper, rappelé à l’ordre par un policier, continue ici à auto-analyser son geste qui pourrait porter préjudice à Nabe et au jugement final de son affaire. Illustration : photo du Blackberry de Vesper mis sur le mode enregistreur. 6 pages.

    « Conclusions de l’avocat de Nabe, maître Coutant-Peyre »

    Scan (14 pages) des conclusions de Me Coutant-Peyre pour défendre Marc-Édouard Nabe. Illustration de Une : photo d’Isabelle Coutant Peyre en robe et de Marc-Édouard Nabe devant la porte de la XVIIe chambre.

    « Conclusions de l’avocat de Loffredo »

    Scan (21 pages) des conclusions de Nicolas Brault attaquant Nabe pour le compte de Loffredo. Illustration de Une : photo prise de Me Brault en robe, en pleine plaidoirie, dans la salle d’audience.

    « La folie Loffredo »

    Texte non signé de présentation du scan complet (66 pages) du procès verbal de constat demandé aux huissiers Ajilex par Yves Loffredo pour constituer les pièces à son assignation par des captures d’articles de Nabe’s News (avec en annexes tous les articles et les illustrations de Nabe’s News). Illustration de Une : Yves Loffredo exhibant une liasse de billets de 50 euros dans le Jardin du Luxembourg. Une demi-page.

    « Sébastien Cacioppo sur les procès de Nabe »

    Scan d’un article du juriste Sébastien Cacioppo (proche de Nabe) publié dans la Revue juridique personnes & famille qui, sans citer le nom de Loffredo, rappelle la situation et les contradictions de la loi quant à la liberté d’expression.

    « Quand Carl de Canada filmait Yves Loffredo (L’Enculé, 2011) »

    Extrait (50 secondes) du clip de Carl de Canada tourné chez Pepperoni, le 6 octobre 2011, au cocktail de lancement de L’Enculé, où bien sûr était présent le DA du livre : Yves Loffredo. Illustration de Une : jeune fille de dos enlevant son string face à la caméra de Canada.

    « Scoop : Loffredo, dealer de Reggae ! »

    Chapô de présentation des captures trouvées sur Internet prouvant l’activité parallèle d’Yves Loffredo en tant que revendeur de vinyls de musique jamaïcaine, maquettés par ses soins, avec l’aide de leur distributeur commun, à lui et à Marc-Édouard Nabe, Topplers. Illustrations : capture des disques de Leslie Kong, Duke Reid, Desmond Dekker, Don Drummond, quelques exemples de l’« art » publicitaire de Loffredo : affiches pour Leclerc, L’Humanité et l’Eurostar. Illustration de Une : la tête de Loffredo collée sur un disque de Rico Rodriguez.

    « Quand Yves Loffredo se régalait à lire le manuscrit des Porcs (Aix-en-Provence, 2013) »

    Vidéo de 23 secondes prise dans l’appartement de Nabe à Aix-en-Provence en 2013 alors qu’il était en pleine écriture des Porcs et qu’il en faisait lire quelques passages à Yves Loffredo, qui éclatait de rire.

    « Nabe contre-attaque : citation directe contre Loffredo »

    Chapô de présentation de la citation directe que Nabe a lancée à l’encontre d’Yves Loffredo pour accusation calomnieuse et diffamation dans l’assignation de son adversaire envoyée le 8 août 2017. Scan complet (15 pages) du document, avec la liste des pièces et avis de consignation de partie civile, ainsi que la réponse de Me Brault (10 pages).

    « Nabe sur son “41” (Recension du procès du 23 février 2018) »

    Texte non signé sur l’audience du 23 février 2018 qui s’est tenue pour le procès-riposte que Nabe avait intenté à Loffredo le 26 janvier. Récit du déroulement de l’audience, dialogue de Nabe avec la présidente, portraits des protagonistes de l’appareil judiciaire (juges, procureure, audienciers, greffiers), échanges houleux entre l’avocat de Loffredo, Me Brault, et Nabe qui est son propre avocat. Évocation de la personnalité et de la carrière de Loffredo. Mise en lumière par Nabe des alinéas 4 et 5, peu connus, de l’article 41 censé protéger de toute attaque tout écrit ou discours judiciaire officiel (assignation ou autre), et qui permettent de déroger à cette règle dans le cas où il y aurait des « faits diffamatoires étrangers à la cause » qui permettraient de donner « ouverture soit à l’action publique soit à l’action civile des parties ». Réclamation par Nabe à Loffredo de 30 000 euros de dommages et intérêts. Contre-attaque de Brault dans sa plaidoirie. Illustrations : photos prise dans le hall du tribunal de Nabe et ses amis, puis d’eux quittant l’enceinte judiciaire. 11 pages.

    « Le Chocolat Poulain sait-il qu’il a engagé un ancien skinhead (Yves Loffredo) pour faire son clip de pub ? »

    Diffusion d’un clip de publicité pour le « Chocolat Poulain », concocté par Yves Loffredo, avec l’aide à la caméra de la photographe personnelle d’Audrey Vernon, Sophie Ebrard.

« Darius au portefeuille »

Vidéo de 1 minute 34 où l’on voit Darius encaisser l’argent des mains d’un lecteur avant de le laisser partir avec son exemplaire des Porcs 1et ranger les billets dans le portefeuille de l’anti-édition.

« Courrier »

Réactions et opinions de lecteurs. 5 pages.

« Et bien sûr »

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NB :
Le nombre de pages indiqué pour chaque article est calculé selon le format des livres de Nabe en anti-édition (1700 signes / page).